Voici une description artistique de cette œuvre et de son cadre :
Au centre, un noyau solaire doré, vibrant, agit comme un cœur incandescent. Autour de lui, des spirales violettes et nacrées s’enroulent, comme des bras cosmiques en perpétuel mouvement, dessinant une sorte de galaxie miniature. Ces courbes semblent respirer, pulser, créer une danse circulaire qui attire le regard vers l’intérieur.
Les sphères translucides, posées à intervalles réguliers, ajoutent une dimension céleste : elles ressemblent à des planètes, des astres ou des gouttes de lumière flottant dans l’espace. Leurs reflets irisés captent la lumière ambiante, renforçant l’impression d’un univers vivant.
Le fond sombre, étoilé de particules vertes et bleutées, ouvre sur l’infini : c’est la profondeur du cosmos, l’écrin dans lequel ce système cosmique évolue.
Le cadre noir et discret agit comme une porte d’accès, permettant à l’œil de plonger dans ce vortex lumineux sans distraction.
💡 Symboliquement, on pourrait voir ici une métaphore de l’harmonie universelle : au centre, la lumière intérieure (l’âme, l’énergie vitale), et autour, les cycles de l’existence, les sphères de la vie, en perpétuel équilibre. C’est une représentation du mouvement éternel, de la gravitation qui unit toutes choses.
Cette œuvre dégage une impression de cosmogonie poétique : comme si elle racontait la naissance d’un monde, l’équilibre fragile mais magnifique entre chaos et ordre, matière et lumière.